1. Accueil
  2. >
  3. Actualités
  4. >
  5. Casser les aprioris du viager

Casser les aprioris du viager

L'interview de nos vendeurs pour un viager

Lorsqu’on entre chez monsieur et madame Durand*, il y règne une atmosphère chargée d’histoire.
C’est l’histoire de ce couple d’octogénaires, installé depuis les années 60 dans ce bel appartement parisien de la rue Ernest Renan. En vieillissant, sans enfants à qui transmettre cet héritage, des frais à venir et une envie de voyager, les interrogations commencent. Mais il n’était pas question de quitter leur cocon pour autant.
Un jour, en discutant avec une voisine, la question du viager émerge et s’impose finalement comme la solution idéale. Et l’aventure commence.
Après consultation de plusieurs agences immobilières, leur choix s’arrête sur l’agence Poiret Immobilier. Si la proximité physique de l’agence est un argument, monsieur Durand ajoute « après avoir entendu les discours d’autres agences, l’équipe Poiret Immobilier a pris le temps de nous écouter et nous a parlé de nos intérêts avant de parler des siens »
« Le viager n’est pas une transaction comme une autre », rappelle Francis Poiret, directeur de l’agence. « On doit rentrer dans l’intimité du vendeur pour comprendre ses attentes, son projet ou ses projets. On doit parler librement de son espérance de vie qui ne doit pas être un tabou.  Il faut prendre le temps de poser toutes les questions et d’expliquer les choses afin de pouvoir proposer le meilleur contrat possible et réussir cette belle mise en relation ».Lorsqu’on demande aux vendeurs de nous raconter leur ressenti sur la vente, ils parlent d’une mise en confiance qui a levé toutes les barrières, permettant de discuter sereinement. « On souhaitait passer par une agence pour qu’elle gère l’ensemble et que l’on s’enlève les soucis. On avait besoin de se sécuriser. »
Car le viager, c’est une relation sur le long terme. Il faut trouver le bon match. Il faut une personne de confiance qui versera les rentes en temps et en heure. Cela demande également de bien connaître le projet de l’acquéreur et de bien l’informer. En deux semaines, l’agence a trouvé le profil idéal : un acheteur souhaitant investir pour un pied à terre sur Paris, plus tard, pour sa fille.
La belle histoire s’achève par une rencontre entre les deux parties qui casse tous les apriori. C’est un échange plein de respect. Les nouveaux propriétaires proposent même au couple de venir leur rendre visite. Ils sont aujourd’hui en contacts réguliers. Seul regret de monsieur Durand *, ne plus siéger au conseil syndical de l’immeuble comme avant, même s’il veille quand même sur l’immeuble. A l’agence c’est Muriel qui a géré le dossier et les vendeurs ne tarissent pas d’éloges à son sujet. L’histoire dit qu’ils passent régulièrement lui dire bonjour en passant devant l’agence.
En somme, pour reprendre les mots de monsieur Durand, « après tout, il n’y a pas besoin de trop en dire quand tout s’est parfaitement passé ».
*Le nom des vendeurs a été modifié pour des raisons de confidentialité.